
Si les métaux les plus utilisés sont bien connus aujourd’hui, le marché est prêt à évoluer pour s’ouvrir à d’autres particules métalliques trouvées dans l’environnement. Comprenant 17 métaux, ils commencent déjà à être utilisés actuellement dans de nombreux domaines et devraient gagner en popularité dans l’avenir.
Des métaux aux vertus impressionnantes
Le gadolinium est déjà utilisé dans le domaine de l’imagerie médicale pour permettre d’optimiser encore plus cette méthode d’investigation. Le néodyme est un métal qui s’est imposé de lui-même dans la construction des éoliennes car il parvient à maintenir de façon particulièrement efficace toutes les pièces ensemble. Le choix d’un autre métal aurait demandé la création de pièces de grand format avec un coût nettement plus élevé.
Dans le domaine automobile, les batteries sont formulées en yprium qui s’avère beaucoup plus performant que les métaux qui étaient jusqu’alors utilisés. Autant dans la durée de vie et dans son efficacité que par rapport à la pollution occasionnée, il est largement préféré à d’autres solutions. La technologie LED est pour sa part née grâce à la découverte du terbium.
La Chine possède pratiquement le monopole

Le Brésil, les Etats-Unis et l’Inde peuvent encore réduire l’écart avec la Chine en investissant davantage dans ce domaine car il s’agit véritablement d’un enjeu d’avenir. Ceux qui seront capables de répondre aux demandes pourront assurer une économie florissante dans les décennies futures. L’Australie, la Malaisie, la Russie et le Vietnam sont également dans la course mais à l’heure actuelle rien ne permet d’affirmer qu’un d’entre eux puisse surpasser les autres. Ensemble, ils ont par contre la possibilité de réduire la pression chinoise sur ces métaux.
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