
Alors que ce métal était produit de façon exponentielle par de nombreux pays, notamment la Chine, les différents gouvernements ont mis en place des mesures strictes pour la protection de l’environnement. Toutes les entreprises qui souhaitent continuer leur activité devront les satisfaire afin de respecter la réglementation.
La région de Tangshan et ses usines fantômes

Aujourd’hui ne restent que les ruines encore jeunes mais déjà envahies par la végétation. Paysage fantôme, la surproduction d’acier chez le premier producteur au monde s’est faite au détriment de la qualité de la vie.
Cette situation n’est pas la seule en Chine où les villes deviennent rapidement des lieux de production, sont utilisés quelques mois puis fermés car la Chine a atteint un taux de pollution crucial.
A Pékin, le ciel est devenu gris et rares sont les moments où il s’éclaircit, même lorsque l’Etat exige une suspension de l’activité pour des évènements particuliers. Tangshan sera pour toujours l’image de la démesure chinoise pour la course aux gains grâce à la vente d’acier.
Un problème à l’échelle mondiale

Lors de réunion sur la lutte contre le réchauffement climatique et contre l’émission de pollution, les usines dans le domaine sont montrées du doigt car les gains enregistrés ne valent pas la protection des ressources naturelles du pays. De nouvelles exigences ont été créées afin de réguler l’activité et les conséquences sur la faune et la flore.
Les usines créées dans les pays africains où de nouvelles possibilités ont été trouvées ou en Amérique du Sud avec la montée en puissance de certains pays ont posés le même problème.
Malgré les effets positifs de ces ouvertures avec la création de milliers d’emplois, les différents gouvernements n’ont pas tardé à réagir en demandant un respect de règles strictes. Le but est de préserver leurs atouts et la beauté du pays intacts en cherchant un développement économique parfaitement maîtrisé.
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